Ce miracle de musicalité et d’émotion sans fard – de plus en plus rare dans le monde du jazz vocal féminin – qu’est Youn Sun Nah. Libération Le talent hors normes d’une superstar du jazz qui va conquérir le monde. Jazz Magazine / Jazzman Moins c’est jazz, plus ça jouit. Le public attend Youn Sun Nah, la Sublime. C’est planétairement qu’elle rayonne. Le Monde En peu de temps, l’exquise chanteuse coréenne Youn Sun Nah a su s’imposer, sur les scènes internationales de jazz, au sein des formations les plus variées. Etoilée par les grands magazines « Jazzman », « Télérama » et « Le Monde de la Musique », Youn Sun Nah est l’une des nouvelles icônes du jazz d’aujourd’hui. Sa voix est troublante, occidentale et orientale à la fois. Elle possède le don de la fluidité de tous les instants qui repose sur son excellente technique vocale. C’est une voix fraîche, ensorcelante, qui travaille toutes les modulations et les variations, comme une manière de retour à l’innocence. Mais c’est aussi une voix sensuelle, puissante et mystérieuse qui permet d’atteindre une atmosphère intimiste et personnelle et de créer un univers musical singulier. Son univers musical sans frontières plonge dans un succès extraordinaire. En 2013, son avant-dernier album « Lento », enregistré sur le célèbre label allemand Act, avait connu un grand succès, tant public que critique. Youn Sun Nah a su dérouler le fil de cet univers bien à elle qui se distinguait déjà dans ses deux précédents opus « Voyage » et « Same Girl ». Monstre de travail, la chanteuse a toujours développé une grande proximité avec ses musiciens. Quatre ans après « Lento », Youn Sun Nah est de retour avec un nouvel album, « She moves on », qu’elle a enregistré aux États-Unis avec une formation inédite. « Pour moi, cet album représente un nouveau chapitre dans ma vie », dit Youn Sun Nah, « j’ai vécu vingt ans en France. J’ai joué avec des musiciens français, européens. Depuis deux ans, j’ai eu l’occasion de jouer avec des musiciens traditionnels coréens et j’ai enregistré un album avec des Américains. C’est comme si j’étais redevenue une débutante. C’est excitant, c’est une nouvelle aventure. » |
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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