Des entrailles telluriques du royaume d’Hadès jusqu’au ciel euphorisant d’Epicure, la quête inaccessible du Graal musical avait imposé à MESSALINE un bivouac inattendu après 4 albums salués par les médias spécialisés pour leur originalité. Mais encore par surprise, dans cette nuit abyssale, leurs vieux démons ont choisi pour eux. Sans lumières il n’y a pas de ténèbres. Et ces expiations incandescentes furent entre autres la Sainte Trinité Led Zep-Purple-Sabbath mais aussi Ange, Santana ou Ghost… MESSALINE joue aux apprentis sorciers sur ce prochain album qui sortira fin septembre 2022. Une alchimie musicale prête à vénérer les anciennes kabbales sur l’autel des nouveaux possédés. Ad vitam aeternam. « Pour ce single, Mathieu Gilbert est parti sur un riff typiquement Classic Rock des 70’s. Nous voulions un titre mid-tempo et groove dans la première partie de la structure avec un refrain très mélodique voir pop. La seconde partie est plus heavy avec une montée en puissance des guitares. A ce sujet, Mat s’est amusé à varier les plaisirs en jouant sur ce titre avec 3 guitares : la Gibson SG, la Flying V et une vieille Fender Stratocaster » explique Eric Martelat le chanteur-parolier de MESSALINE. « On doit comprendre Vieux Démons dans les deux sens du terme. Nos influences, notre background qui ressortent et aussi le fait que nous sommes à titre personnel toujours autant possédés par cette musique malgré les années. Le texte est un constat et un manifeste ».Enregistré et mixé au studio La Soierie. Masterisé au Studio 180-Paris par Arnaud Bascunana (Guitar United, Yarol Poupaud, Axel Bauer…).Artwork par Stan W. Decker (Megadeth, Blue Oyster Cult, Rage … ). Pour le single Vieux Démons, un petit détail de la pochette finale a été choisi, elle se dévoilera dans son intégralité pour l’album complet. |
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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