Ils sont originaires de Grèce, mais c’est à Los Angeles, en remplissant des clubs tels que le Roxy, le Whisky a Go Go, le Viper Room, On The Rox, ou le Doll Hut, que les BARB WIRE DOLLS ont tapé dans l’œil (et les oreilles) de Tom Zutaut (A&R de Guns N’Roses, Mötley Crüe, The Stone Roses…). C’est sous la houlette de ce dernier que le groupe réalise 2 EP auto-produits et compilés en 2011 sur l’album « Fuck the Pussies ».
Depuis ils ont écumé tous les clubs du continent Nord-américain, ont assuré les premières parties de Green Day, New York Dolls, Blondie, Cheap Trick, The Damned, Joan Jett GBH, Sham 69, Discharge, Cockney Rejects, Status Quo, 999, Candlebox, UK Subs, Mushroomhead, Jello Biafra, NOFX et ont sorti, en 2012, « Slit » un disque produit par Steve Albini (Nirvana, Pixies, PJ Harvey…), juste avant de s’attaquer à l’Europe où ils déjà donné plus de 300 concerts et participé à des tonnes de festivals !
C’est 2015 que Lemmy Kilmister décide de les signer sur son label Motörhead Music. Peu de temps après les BARB WIRE DOLLS étaient tête d’affiche du Joey Ramone Birthday Bash à New York, tout un symbole pour ces punks dans l’âme.
« Desperate », leur nouvel album, produit par Jay Baumgardner (Bush, Evanescence, Lacuna Coil) sort le 22 juillet 2016. Le chant d’Isis Queen y claque comme un fouet. Entouré de Pyn Doll (un ex-surfeur pro) et Remmington aux guitares, Krash Doll à la batterie et Iriel Blaque à la basse, cette icone peroxydée règne en véritable maîtresse sur ce patchwork punk/grunge/metal. Crues, féroces, sulfureuses, saturées, bordeliques, sensuelles, puissantes, magnétiques, brutales, destroy, implacables, les compos des BARB WIRE DOLLS semblent vraiment être nées à l’issue d’une fête nocturne organisée par Iggy Pop où Les Ramones, les Sex Pistols et les Misfits n’avaient pas manqué d’être invités…
Le premier clip extrait du nouvel album est ici: