Louis Arlette est de retour ! Après son premier disque Sourire carnivore, Louis Arlette, auteur-compositeur-interprète et ingénieur du son, remarqué par le duo Air, va sortir le 15 mars 2019 Des ruines et des Poèmes, un album pop-rock aux influences de musique industrielle mêlée de chansons à dimension littéraire. Un opus à la poésie sombre et romantique porté par le titre Je suis un soir d’été de Jacques Brel, que le chanteur revisite avec sensibilité et modernité grâce à des arrangements électro presque dansants. Louis Arlette sortira son second album Des ruines et des Poèmes le 15 mars 2019. Il y a un an à peine, l’album Sourire Carnivore avait révélé le talent de Louis et son univers électro-rock à l’énergie brute, teinté de noirceur romantique et d’allusion à la musique industrielle de Nine Inch Nails, du jamais vu encore dans l’univers de la chanson pop française. On découvrait alors un artiste possédant une solide culture du son, de la création contemporaine, amoureux des machines mais animé aussi d’un profond goût pour les textes à dimension littéraire. Ce jeune musicien habite un registre aux frontières des rêves et des tourments que l’on retrouve dans le clip de Je suis un soir d’été, reprise d’une chanson de Jacques Brel écrite en 1968, extrait du nouvel album de Louis Arlette : Des ruines et des Poèmes.
En 2018, Louis Arlette publiait son premier album Sourire Carnivore et, déjà, tout y était : une électricité libératrice et de l’électronique tapageuse, des chansons sensibles et grandioses, de régulières visites aux plus hautes lumières. Sourire Carnivore était le résultat d’une collision parfaite entre toutes les multiples influences de Louis : Brel ou Ferré, Depeche Mode, Radiohead, Daniel Darc, The Cure, Étienne Daho, la chanson et le rock, The Beatles et l’expérimentation sonique de Nine Inch Nails.
Mais Louis Arlette n’est pas du genre à s’arrêter là : il préfère le cheminement à la destination, l’excitation de la recherche permanente à la finitude de la découverte.
Sourire Carnivore n’a finalement constitué pour lui qu’un rite initiatique, le point de départ d’une grande épopée pop et intime : bien plus personnelle à tous les niveaux, sa suite Des ruines et des Poèmes le porte déjà vers de nouvelles aventures. « Avoir fait mon premier album m’a permis, pour le second, de creuser plus profondément, de progresser. Je ne partais pas du même point de départ : c’est un trajet, un chemin, on ne peut pas directement arriver à destination. Il faut percer les couches, une à une. » « Il ne restera de mon règne, rien que des Ruines et des Poèmes », chante-t-il sur la profonde et bouleversante chanson du même titre. « Des Ruines et des Poèmes est plus minimal, minimaliste même, il y a plus d’air, plus d’espace. Sur le premier album, j’ai montré ces choses que j’avais apprises, sur celui-ci je montre des choses que j’ai trouvées. Il est donc plus personnel. Des Ruines et des Poèmes m’appartient pleinement, avec une sérénité et une force nouvelles. » À l’image de la reprise exaltante de Je suis un soir d’été de Brel, Des Ruines et des Poèmes ne baisse jamais d’intensité. Enregistré au Studio Ferber avec l’aide de Philippe Paradis (Christophe, Thiéfaine, Zazie…), ce deuxième album en forme de seconde naissance irradie de puissance et de rage, déborde de beautés héroïques, de morsures magnifiques, de tumultueuses amertumes. « On vit dans une ambiance de Rome d’avant le déclin, de Babylone d’avant la chute : une ambiance de fin de civilisation. » Des ruines, mais des poèmes : Louis Arlette a peut-être, avec son deuxième album, écrit la bande-son idéale, et finalement très jouissive, des fracas chaotiques d’aujourd’hui.